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Termes Linux Ubuntu relatifs au disque dur et aux périphériques (en anglais)

Summary: Cet article est un document de référence dédiée aux noms des disques durs et périphériques sous Ubuntu Linux, ainsi qu’à leur utilisation dans votre ordinateur Dell. ...

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Comprendre la dénomination des périphériques sous Linux

Il est indispensable de bien comprendre la dénomination des périphériques et leur utilisation afin de correctement installer et utiliser Ubuntu Linux. Tout comme la technologie, la dénomination des périphériques a changé et évolué au fil des différentes versions de Linux.

Malheureusement, on ne peut pas comparer la manière dont Windows et Apple nomment et utilisent les périphériques sur leurs systèmes. Vous noterez quelques similarités avec Google Android.

Remarque : Remarque : la version actuelle d’Ubuntu utilise GRUB2 (GRand Unified Bootloader). Nous vous conseillons de lire les sections 4 et 5, qui sont les plus à jour.

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Convention de dénomination des périphériques Linux

Au départ, Linux attribuait à chaque périphérique un nom, puis une position et une partition.

Remarque : Remarque : lorsque vous partitionnez un disque MBR (Master Boot Record), vous pouvez disposer au maximum de 4 partitions principales. Vous pouvez aussi utiliser une combinaison de plusieurs partitions principales et logiques. Il est recommandé de conserver la présente convention pour les tables de partition GUID (GPT, GUID Partition Table).

Sous Linux, la convention de dénomination d’origine était la suivante :

  • /dev/fd0 : le premier lecteur de disquette.
  • /dev/fd1 : le second lecteur de disquette.
  • /dev/sda : le premier disque SCSI SCSI ID address-wise.
  • /dev/sdb : le deuxième disque SCSI address-wise, etc.
  • dev/scd0 ou /dev/sr0 : le premier CD-ROM SCSI.
  • dev/hda : disque principal sur IDE contrôleur principal.
  • /dev/hdb : le disque esclave sur le contrôleur IDE primaire.
  • /dev/mmcblk0 : la carte SDHC sur PCMCIA. Dénomination de périphériques spéciale.
  • /dev/sdb : lecteur flash USB contre l’émulation SCSI. Cependant, le noyau démarre en parallèle avec plusieurs lecteurs. Cela ne signifie pas que votre disque sda ou sdb est de type USB, mais que le module USB a été lancé en même temps que le disque et qu’il envoie des messages simultanément.
  • dev/hdc et/dev/HDD : les disques primaire et secondaire du contrôleur secondaire, respectivement. Les contrôleurs IDE les plus récents disposent de deux canaux agissant comme deux contrôleurs.

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Convention de dénomination des périphériques GRUB

GRUB a changé la convention en ajoutant une partition, à partir de 0.

Le nom de base d’un disque contrôlé (E)IDE est /dev/hd? Le ? correspond à une seule lettre, par exemple pour GRUB : hd? Le ? représente les positions 1 à 4.

La dénomination des périphériques est assez simple. Dans le premier exemple ci-dessous, la première partie est le nom du périphérique hd, tandis que la seconde partie est sa position a.

Nom du lecteur
  • /dev/hda : disque principal sur le premier contrôleur
  • /dev/hdb : disque esclave sur le premier contrôleur
  • /dev/hdc : disque principal sur le second contrôleur
  • /dev/hdd : disque esclave sur le second contrôleur
Nom du GRUB
  • hd1 : disque maître sur le premier contrôleur
  • hd2 : disque esclave sur le premier contrôleur
  • hd3 : disque maître sur le second contrôleur
  • hd4 : disque esclave sur le second contrôleur

La dénomination des partitions est simple : vous ajoutez un numéro au périphérique approprié. Voyez ci-après des exemples pour certaines partitions sur /dev/hda

Remarque : Remarque : 0-3 correspond aux 4 partitions primaires que vous pouvez potentiellement choisir, et 4 et les numéros supérieurs correspondent aux partitions logiques définies.
Nom du lecteur
  • /dev/hda0 : disque maître sur le premier contrôleur, première partition primaire.
  • /dev/hda1 : disque maître sur le premier contrôleur, seconde partition primaire.
  • /dev/hda4 : disque maître sur le premier contrôleur, première partition logique.
  • /dev/hda5 : disque maître sur le premier contrôleur, seconde partition logique.
Nom du GRUB
  • hd1,0 : disque maître sur le premier contrôleur, première partition primaire.
  • hd1,1 : disque maître sur le premier contrôleur, seconde partition primaire.
  • hd1,4 : disque maître sur le premier contrôleur, première partition logique.
  • hd1,5 : disque maître sur le premier contrôleur, seconde partition logique.

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Convention de dénomination des périphériques GRUB2

GRUB2 a modifié la convention de dénomination en y supprimant le 0. Tous les noms commencent donc par 1.

Le nom de base d’un disque contrôlé (E)IDE est /dev/hd? Le ? correspond à une seule lettre, par exemple pour GRUB2 : hd? Le ? représente les positions 1 à 4.

La dénomination des périphériques est assez simple. Dans le premier exemple ci-dessous, la première partie est le nom du périphérique hd, tandis que la seconde partie est sa position a.

Nom du lecteur
  • /dev/hda : disque principal sur le premier contrôleur
  • /dev/hdb : disque esclave sur le premier contrôleur
  • /dev/hdc : disque principal sur le second contrôleur
  • /dev/hdd : disque esclave sur le second contrôleur
Nom du GRUB2
  • hd1 : disque maître sur le premier contrôleur
  • hd2 : disque esclave sur le premier contrôleur
  • hd3 : disque maître sur le second contrôleur
  • hd4 : disque esclave sur le second contrôleur

La dénomination des partitions est simple : vous ajoutez un numéro au périphérique approprié. Voyez ci-après des exemples pour certaines partitions sur /dev/hda

Remarque : Remarque : 1-4 correspond aux 4 partitions primaires que vous pouvez potentiellement choisir, et 5 et les numéros supérieurs correspondent aux partitions logiques définies.
Nom du lecteur
  • /dev/hda1 : disque principal sur le premier contrôleur, première partition primaire.
  • /dev/hda2 : disque principal sur le premier contrôleur, seconde partition primaire.
  • /dev/hda5 : disque principal sur le premier contrôleur, première partition logique.
  • /dev/hda6 : disque principal sur le premier contrôleur, seconde partition logique.
Nom du GRUB2
  • hd1,1 : disque principal sur le premier contrôleur, première partition primaire.
  • hd1,2 : disque principal sur le premier contrôleur, seconde partition primaire.
  • hd1,5 : disque principal sur le premier contrôleur, première partition logique.
  • hd1,6 : disque principal sur le premier contrôleur, seconde partition logique.

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Résumé des termes relatifs aux périphériques et de leur utilisation sous Ubuntu

Lecteurs SATA (Serial Advanced Technology Attachment)

Avec l’introduction des disques SATA, la convention a été modifiée et les disques durs sont maintenant généralement référencés comme sda au lieu de hda, sd étant l’acronyme de serial drive.

Tables de partitions

Une table de partition affiche les partitions d’un disque dur ou de tout autre périphérique de stockage. Il existe deux normes relatives à la présentation de la table de partition :

  1. MBR (Master Boot Record) : l’enregistrement de démarrage principal, également appelé ms-dos, peut être considéré comme la norme d’origine. MBR reste la table de partition la plus couramment utilisée, mais présente deux inconvénients majeurs :

    1. Il ne vous autorise pas à créer plus de quatre partitions principales. Ces partitions sont appelées partitions primaires.

    2. Les partitions de disque ne doivent pas dépasser 2 To.

  2. GPT (GUID Partition Table) : les tables de partition GUID ont été introduites plus tard. Bien que toujours utilisé, le format MBR présente des limites qui ont conduit au développement de GPT. Celle-ci surmonte les deux limitations de MBR. Vous pouvez avoir plusieurs partitions primaires et les tailles de disques peuvent dépasser 2 To.

Convention de dénomination de disque dur

La première chose à savoir est qu’il n’existe ni lecteur C ni lecteur E sous Linux. Vous devriez voir un nom tel que /dev/sda, /dev/sdb, /dev/sdc, etc. à la place. dev est la version courte du mot anglais « device » (périphérique). sd est l’abréviation du lecteur de stockage de masse SCSI (Small Computer System Interface).

Partitions et numérotation des partitions

Pour installer un système d’exploitation sur un disque dur, vous devez diviser ce dernier en unités de stockage distinctes. Ces unités de stockage sont appelées « partitions ». Sous MBR, la norme par défaut sur pratiquement toutes les distributions Linux, il existe trois différents types de partitions : primaire, étendue et logique. Avec MBR, toute partition qui n’est pas explicitement créée comme une partition étendue ou logique est une partition primaire. Tout espace non alloué est affiché comme étant disponible. Bien qu’il soit disponible, il ne peut pas être utilisé en l’état. Pour le système, cet espace disponible n’existe pas avant d’être partitionné.

capture d’écran du Guide des partitions

Si vous avez créé le nombre maximal de partitions possible et si vous avez encore de l’espace disponible, celui-ci sera inutilisable.

capture d’écran du message d’erreur de partitionnement

Partition étendue

Si vous marquez une partition comme partition étendue, vous pourrez créer de nombreuses autres partitions sous celle-ci. Ces partitions sont appelées partitions logiques, et il n’existe en fait aucune limite au nombre de partitions logiques pouvant être créées. Cela signifie que vous pouvez avoir trois partitions primaires et une partition étendue, puis créer plusieurs partitions à partir de là.

Remarque : Remarque : une seule partition étendue peut être configurée par disque dur.

Le programme d’installation graphique d’Ubuntu s’appelle Ubiquity.

Deux fonctionnalités, qui étaient disponibles sur l’autre distribution Linux depuis un certain temps, ont été ajoutées.

Ces deux nouvelles fonctionnalités sont les suivantes :

Full Disk Encryption (Cryptage de disque complet)

La prise en charge du cryptage du répertoire de base des utilisateurs existe depuis longtemps dans Ubiquity, mais en tant qu’outil de sécurité physique. Grâce au chiffrement de disque complet, le système ne démarre pas si le mot de passe de chiffrement de disque correct n’est pas utilisé. À chaque redémarrage, la personne assise devant un ordinateur sur lequel le cryptage de disque complet est configuré verra s’afficher un message.

Gestionnaire de volumes logiques (LVM) Linux

Le gestionnaire LVM simplifie la gestion de l’espace disque, en particulier lorsqu’il s’agit de redimensionner des partitions et d’ajouter un autre disque dur au système. Le gestionnaire LVM n’offre aucune redondance intégrée, ce qui signifie que dans un système multi-disques, vous aurez des problèmes si un disque tombe en panne. À l’heure actuelle, le gestionnaire LVM fonctionne uniquement en mode automatisé.

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Additional Information

Remarque : le support logiciel est assuré par Canonical via les canaux suivants : Pour le support technique, contactez le support technique Dell.

Article Properties


Affected Product

Latitude, Vostro, XPS, Thin Clients, Fixed Workstations

Last Published Date

05 Apr 2021

Version

4

Article Type

Solution